Si l’on souhaite garder un gris typographique de qualité dans un texte justifié, la césure apparaît comme inévitable, de même que pour les mots trop longs d’un texte en alignement libre. Mais on ne coupe pas inopinément...
On coupe de préférence entre deux mots, avant les signes mathématiques dans les opérations, au milieu d’une date (si c’est absolument nécessaire), par syllabe, en tenant compte de la construction du mot (extra-ordinaire), ou entre deux consonnes, un prénom ou un nom composé...
On ne coupe pas sur plus de trois lignes consécutives, les abréviations de leur nom (M. Dupont), un nombre du mot auquel il rapporte (253 pages, Louis XVI), Les pourcentages, les ponctuations, les dates, l’abréviation «etc.» du mot qu’il précède, les sigles, les apostrophes, les mots de moins
de quatre lettres, la première lettre, les deux dernières lettres d’un mot...
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